n°195

n°195 - juin 2010

Dépôts sauvages, bennes ouvertes à l’air libre pas très salubres, la gestion des déchets (lire le dossier pages 7-11) est loin d’être une sinécure.
Contraints par la loi fédérale, les cantons comme les communes s’y attèlent pourtant au mieux et nul ne peut s’en plaindre tant la problématique du ramassage et de l’élimination de nos ordures demeure complexe. D’autant que malgré toutes les campagnes de sensibilisation, nous ne cessons d’en augmenter la production. Et ni les taxes au sac, ni les factures annuelles ne semblent avoir le pouvoir de contrer cette course folle.
Et puis un jour, il n’y a pas si longtemps, apparaissent dans le paysage les Molok. Sans résoudre la gestion de nos déchets, ces gros containers semi-enterrés ont l’immense avantage de nous les rendre moins visibles. Et ça fait du bien.
Plus discrets qu’un alignement de containers à roulettes, ils conservent nos ordures au frais, évitent les mauvaises odeurs, ne suscitent plus aucun intérêt de la part des renards et autres bestioles et réduisent considérablement les transports des voiries.
Le revers de la médaille? On peut y mettre n’importe quoi et quand on y verse par exemple des cendres brûlantes, ça fait fondre le sac intérieur. Et ce sac-là, il coûte cher!

Claire-Lise Genoud
Rédactrice en chef

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