
n°214 - avril 2014
La tour de Taïpei, sur l’île de Taïwan, j’y suis montée il y a trois ans. Longtemps considérée comme la tour la plus haute du monde avec ses 509 mètres, elle est aujourd’hui reléguée à la troisième position. L’ascenseur nous a hissés au sommet en un temps record le long de ces 101 étages. C’était haut et relativement long! Personnellement je ne m’y suis pas sentie bien du tout. C’était imperceptible, mais réel. Un
an plus tard, j’ai eu l’occasion de dormir plusieurs nuits dans un appartement situé au 23e étage sur l’île de Hainan dans le sud de la Chine. De grandes baies vitrées nous permettaient de voir la mer jusqu’à l’horizon. Sans problème. Aucun vertige, aucune sensation de vide, pas de maux de tête ni de nausées. Faut-il en conclure qu’il existerait un mal des tours que l’on peut attraper comme le mal des montagnes? La question reste ouverte. Quoi qu’il en soit, les tours semblent être une solution concrète à la pénurie de logements, d’autant plus lorsqu’elles restent dans des dimensions raisonnables.
Dans ce journal vous pourrez également lire le bilan «logement» de la votation sur l’immigration de février 2014. Notre spécialiste en droit du bail revient sur les congés prétextes et se réjouit d’un récent arrêt du Tribunal fédéral qui ne donne pas tous les droits aux bailleurs. Vous pourrez également prendre connaissance des dernières nouvelles vaudoises en matière de politique du logement et de quelques autres nouvelles liées à l’information et à la défense des locataires.
Claire-Lise Genoud
Rédactrice en chef
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